La Défense dépend de plus en plus des nouvelles technologies et du bon fonctionnement de ses réseaux et systèmes d’armes. Dans le même temps, un accès facile à de nombreux cyber-outils sophistiqués fournit à nos adversaires les moyens de compromettre, directement ou indirectement, l'intégrité et la disponibilité de ces systèmes militaires. Par ailleurs, toute tentative d’influence dans le cyberespace affecte notre société et impacte nos opérations militaires. Développer une capacité de cyberdéfense est devenu une nécessité plus qu’une évidence.
Les attaques dans le domaine cyber sont quasi quotidiennes, multiples et diversifiées et tout le monde peut en être la cible. Vols de données confidentielles, attaques par des logiciels malveillants, tentatives de désinformation ou d’influence n’en sont que quelques exemples et peuvent avoir des conséquences désastreuses pour notre sécurité.
Dans un cyberespace en constante évolution et où les avancées technologiques se font de plus en plus rapides et accessibles, notre pays doit impérativement pouvoir se défendre des éventuelles attaques dans le domaine cybernétique.
Dans un monde qui évolue, la Défense doit constamment s’adapter aux nouvelles réalités pour maintenir sa liberté d’action et sauvegarder la paix. Après la terre, la mer, le ciel et l’espace, le cyberespace s’impose comme un cinquième champ de bataille. Des actions de sabotage, espionnage ou influence par des acteurs étatiques ou non-étatiques peuvent y être menées. Les réseaux et systèmes d’armes de la Défense doivent donc être soutenus pour résister aux éventuelles cyber-attaques et une menace doit pouvoir être détectée voire neutralisée à temps pour garantir notre sécurité.
Physique quantique, intelligence artificielle, robotique de pointe, réseaux de communication et d’information évolués, les innovations technologiques s'accélèrent et se multiplient sans répit. Pour pouvoir répondre aux cyber-incidents majeurs, le Défense doit s’assurer d’une expertise suffisante et disponible en permanence.
Le développement continu d’une cyber-capacité militaire capable d’exploiter cet espace est devenu crucial pour les opérations de la Défense et la protection de notre nation.
La Défense doit pouvoir protéger tous ses systèmes de communication, d'information et d'armement afin de garantir la liberté d'action pour ses opérations militaires. L'optimisation de la sécurité et de la résilience de tous les systèmes nécessite une approche coordonnée à différents niveaux.
Même la meilleure cybersécurité ne peut jamais exclure complètement une cyberattaque réussie. La Défense doit disposer d'un ensemble de mesures solides pour pouvoir répondre de manière adéquate aux cyber-incidents et garantir la continuité dans l'exécution des missions. C’est pourquoi elle développe continuellement ses capacités de détection, d'analyse et remédiation, mais aussi d’attribution et de communication
La Défense continue d'étendre son expertise en matière de renseignement dans le cyberespace. Elle se concentre notamment sur les capacités et les intentions des cyberacteurs dans les régions où elle est présente.
Le Cyber Command utilise en effet des méthodes spécifiques afin d'obtenir des informations pertinentes concernant les activités d'espionnage et de sabotage de nos adversaires.
Les capacités de renseignement peuvent également être utilisées pour préparer et soutenir les cyberattaques elles-mêmes. Cela peut se faire en recherchant les vulnérabilités des systèmes de communication, d'information et d'armement de nos adversaires.
Notre sécurité commence à l'étranger. C'est pourquoi des centaines de militaires donnent chaque jour le meilleur d'eux-mêmes sur les théâtres d'opération du monde entier.
Notre mission
Les relations avec la Russie sont à nouveau tendues depuis 2014. Afin de montrer sa détermination, l'OTAN renforce sa présence en Europe de l'Est, tant sur terre (Enhanced Forward Presence) que dans les airs (Baltic Air Policing) et en mer (Standing NATO Mine Countermeasures Group). Le 24 février 2022, avec l’invasion russe de l’Ukraine, il est devenu évident que les efforts de l’OTAN ne sont pas superflus.
Notre Mission Europe de l'EstNotre mission
Le Service d’Enlèvement et de Destruction d’Engins Explosifs (SEDEE) a son quartier général à Oud-Heverlee. Il se charge de neutraliser, de démanteler et d’évacuer les munitions et les explosifs non explosés abandonnés.
Notre Mission Belgique : SEDEENotre mission
Notre Composante Air, avec les Pays-Bas, surveille en permanence l'espace aérien du Benelux. Un système et des opérateurs radar gardent constamment l’œil ouvert. Les avions de combat peuvent intercepter, contrôler et, si nécessaire, neutraliser les avions suspects dans l'espace aérien pour protéger la Belgique et ses habitants.
Notre Mission le Benelux : QRATravailler à la Défense est plus qu’un job, c'est une mission. Vous devrez parfois dépasser vos propres limites. Mais vous recevrez également beaucoup en retour : de la satisfaction, des amis pour la vie, et le sentiment de faire une différence.
Egalité des chances
L'égalité des chances pour tous, à la Défense ce n’est pas qu’un slogan. Vous bénéficiez des mêmes possibilités que les autres, quels que soient vos antécédents, votre sexe ou votre orientation. De plus, les hommes et les femmes ont le même salaire.
Expériences uniques
Il ne s'agit pas d'un boulot de neuf à cinq. Vous découvrirez le monde et vous pourrez acquérir de nouvelles expériences. Votre réponse à la question : « Comment s'est passée la journée ? » entrainera chez vous des réponses bien différentes de celles de vos ami(e)s.
Variété & défi
La routine, ça ne vous ressemble pas. En manœuvre aujourd’hui, du sport demain et le mois prochain une mission à l'étranger. Pour chacune de ces choses, vous vous donnez à 100%, parce que vous aimez les défis. Vous aimez donner le meilleur de vous-même.
Dieter (21), Soldat d’infanterie
Sam (25), Soldat canonnier
Thomas (24), Sous-officier technicien avion
Johan (28), Responsable communication et réseaux
Cédric (30), Gestion, approvisionnement et transport
Arne (24), Sous-officier transmissions maritimes
Wendy (33), Radar/sonar operator
Stephan (41), Pilote
Katrijn (26), Officier kinésithérapeute
Mégane (27), Magasinière
Rodolphe (21), Sous-Officier Renseignements
Thierry (35), Civil Cyber Security Expert
Jurgen (30), Sous-officier Para-commando
Michel (50), Assistant Technicien
Marvin (28), Sous-officier technicien en électronique et optronique
Guillaume (32), Instructeur à la Marine
Florent (27), Soldat mécanicien de véhicules (autos et camions)
Arnaud (38), Bachelier Avionique
Frédéric (45), Réserviste officier de liaison à la Marine
Xavier (35), Officier technicien à la Marine
François (25), Officier manager en maintenance
Kevin (24), Soldat assistant technicien avion
Tom (32), plongeur/démineur
Kervan (38), Instructeur de candidats Para-commandos
Stéphane (37), Étudiant réserviste sous-officier ICT
Elisabeth (30), Officier médecin Composante Médicale
Sander (32), Sous-officier service nautique
Tom (19), Technicien Electromécanique (véhicules)
Kevin (31), Ambulancier Para-commando
François (25), Électro-mécanicien (véhicules)
Matthias (33), Officier dentiste
Céline (32), Médecin
Fred (37), Sous-officier CBRN
Sara (24), Sous-officier technologue de laboratoire médical
Niels (27), Pompier d’aérodrome
Fabrice (33), Soldat CBRN
Tom (25), Ambulancier Para-commando
Laura (25), Officier contrôleuse de combats aériens
Maxime (29), Sous-officier technicien munitions
Jessica (30), Sous-officier cuisinier
Axel (36), Technicien de communication et d’information
Sophy (21), Officier ingénieur
Sigrid (28), Contrôleur du traffic aérien
Ruben (43), Médecin chirurgien réserviste
Chris (25), Officier de pont dans la Marine
Yannick (35), Sous-officier Infanterie
Pieter (28), Force Protection
Loïc (23), Technicien Electromécanique (systèmes de support)
Alexander (23), Officier ICT system engineer
Sarah (29), Juriste civile
Pablo (41), Concepteur technique civil
Rémi (32), Officier ingénieur civil
Lori (21), Matelot
Didier (34), Bachelier en Soins Infirmiers
Joyce (32), Sous-officier ICT
John (47), Sous-officier Artillerie